4e rapport d'étonnemen

Article n°16
Date de publication :Campagne 2004/2005 (1er août-31 juillet)
Titre :La filière pomme de terre en France
Source :http://www.oniflhor.fr/filiere/filieres_oniflhor.htm

Résumé :
Cet article nous présente l’évolution des achats de pommes de terre depuis 1998. Nous apprenons qu’elle reste le légume le plus consommé. La pomme de terre en vrac est de moins en moins vendue, au profit de la pomme de terre en emballage. Il est également mentionné une augmentation de la consommation de pomme de terre chair ferme au détriment des pommes de terre de consommation courante.



Article n°17
Date de publication :Février 2006
Titre :Pommes de terre de consommation : une modification radicale de la mise en marché.
Source :Magazine « Bon & Beau »

Résumé :
En France, on consomme un million de pommes de terre par an, la majorité étant consommée par les collectivités. Ce sont les pommes de terre fraîches qui attirent le plus de consommateur : en moyenne 33kg/an/hab contre 26kg/an/hab pour les surgelés. La consommation est relativement stable d’année en année. La distribution a changé : la part des hypermarchés ne cessent de s’accroître, cependant, la part de marché des Hard discounters dans la distribution de primeurs augmentent en flèche depuis ces 10 dernières années. De plus, le mode de distribution de la pommes de terre se modifie : on passe des sac de 10 kg avec une seule variété proposée, la Bintje, a des multitudes de sachets avec des variétés spécifiques au mode de préparation, ce qui pose problème à la ménagère, qui s’y perd quelque fois…
Dans l’article, les habitudes de consommation sont hétérogènes de part les changements de mise en marché des pommes de terre et surtout part les lieux de distributions qui changent.



Article n°18
Date de publication :24 février 2006
Titre :Pommes de terre : Des turbulences à l’horizon
Source :La France agricole N°3123

Résumé :
A l’avenir, l’inquiétude se porte sur la diminution de la consommation en pomme de terre des ménages français néanmoins les produits transformés restent très présents dans les réfrigérateurs français notamment les frites et produits sous vide dont la vente progresse. Bien que la tendance soit au hard discount, Benoit Hornecker, directeur du groupe coopératif Lunor envisage une modification du comportement du consommateur afin de valoriser les marques et la qualité, de façon similaire aux consommateurs espagnols qui ont des exigences qualitatives auxquelles les producteurs français répondent.

Article n°19
Date de publication :31 Mars 2006
Titre :Un sondage sur la pomme de terre indique que tout est une question de goût
Source :http://www.fcc-fac.ca/newsletters/fr/express/articles/20060331_f.asp

Résumé :
Un sondage au canada montre que les personnes âgées de plus de 55 ans consomme plus de pomme de terre que ceux de moins de 55 ans, c'est-à-dire respectivement 2,4 fois par semaine contre 1,8 fois.
Les modes de consommation varie, 28% des consommateurs les préfèrent bouillies, 25% en purée ou cuite au four, 11% en frites et 9% en chips.

Article n°20
Date de publication :25 Mars 2006
Titre :La pomme de terre dans l’alimentation de demain
Source :POMME de TERRE hebdo N°789

Résumé :
Au XXIème siècle, on connaît une modification des modes de vie, c’est pour cela que c’est développé le snacking au détriment, par exemple, de la consommation de pommes de terre vendues en l’état qui a baissé de 60kg/habitant/an en 45ans. Aujourd’hui, elles connaissent une évolution sur le marché agroalimentaire notamment pour s’adapter aux jeunes consommateurs afin de contrer la concurrence des légumes surgelés qui ont créés une perte de volume de 70%. Pour cela, l’offre en pommes de terre doit s’adapter aux changements alimentaires en favorisant la segmentation culinaire car les consommateurs raisonnent en achats pratiques et faciles avec par exemple, les conditionnements avec tous les ingrédients pour préparer une recette ; développer les petits conditionnements pour les jeunes ménages. La pomme de terre a de nombreux atouts qui sont à utiliser pour « surfer » sur les tendances de consommation car elle a toujours « une carte à jouer » dans l’alimentation de demain.